14 novembre 2013
Kronos, de Witold Gombrowicz
Comme je m’y attendais[1], ce journal secret (je viens de le lire en polonais) ne passera pour une provocation posthume qu’aux yeux de gens qui n’ont pas lu Gombrowicz ou qui ont intérêt à lui organiser une publicité tapageuse. Ces notes laconiques vont...